"Le pouvoir est maudit", clamait Louise Michel. On ne joue pas avec le pouvoir : c’est lui qui se joue de nous. On le donne, on le prend, on l’exerce, on le subit, on en réclame, on en souffre. On tue, on s’entretue pour lui. Les différents personnages de cette pièce vont, ou déléguer ou refuser le pouvoir à d’autres, jusqu’à ce que ce pouvoir les rattrape et imprime sa matraque tragique.
"Ils veulent mourir. Ils vont mourir, les salauds !
Les choses étant ce qu’elles sont... Ou étant ce qu’elles ne sont pas... Comment savoir ?"