Février 2004 : Courcelles-les-lens. L’usine Metaleurop a fermé, une prison va s’ouvrir…
— "Si le patronat a parfois intérêt a donner du travail aux détenus, c’est que les conditions offertes par l’administration pénitentiaire sont celles dont rêvent tous les esclavagistes modernes !" dit un ex-prisonnier.
— "Et je ne serais jamais le surveillant de mes enfants" ajoute un ouvrier licencié de Metaleurop…
Plutôt rejoindre la troupe des non travailleurs !