Accueil > Centre Culturel Libertaire (CCL) > Bibliothèque - Librairie - Infokiosk - Distro (CD+vinyl) > Bibliothèque du CCL
Catalogue de la bibliothèque du CCL.
Articles
Rendre les coups. Boxe et lutte des classes
21 mars, par Selim Derkaoui — XXVII — Anthropologie & Sociologie, lutte des classes, sportEdition : Le Passager Clandestin
06/10/2023
160 pages
EAN : 9782369353379
Le ballet des gants, le bruit sourd des coups, les regards fixes, la sueur. Des cités ouvrières aux quartiers populaires, Selim Derkaoui nous entraîne sur le ring à la rencontre de celles et ceux qui pratiquent le noble art.
Outil d'autodéfense, exutoire, la boxe a historiquement été un puissant instrument d'émancipation pour les classes laborieuses. Sport des « miséreux », largement investi par les héritiers et héritières des immigrations, elle attire désormais d'autres publics, des groupuscules d'extrême droite aux jeunes cadres dynamiques. Récupérée par le système marchand, porteuse de valeurs parfois trompeuses, elle a également été instrumentalisée par l'État pour « canaliser la violence » suite aux révoltes des banlieues.
Mêlant récit personnel et enquête journalistique, Rendre les coups se lit comme un hommage à une boxe populaire, inclusive et anticapitaliste. Une boxe au service des combats qu'on mène à plusieurs
Rendre les coups. Boxe et lutte des classes
21 mars, par Selim Derkaoui — XXVII — Anthropologie & Sociologie, lutte des classes, sportEdition : Le Passager Clandestin
06/10/2023
160 pages
EAN : 9782369353379
Le ballet des gants, le bruit sourd des coups, les regards fixes, la sueur. Des cités ouvrières aux quartiers populaires, Selim Derkaoui nous entraîne sur le ring à la rencontre de celles et ceux qui pratiquent le noble art.
Outil d'autodéfense, exutoire, la boxe a historiquement été un puissant instrument d'émancipation pour les classes laborieuses. Sport des « miséreux », largement investi par les héritiers et héritières des immigrations, elle attire désormais d'autres publics, des groupuscules d'extrême droite aux jeunes cadres dynamiques. Récupérée par le système marchand, porteuse de valeurs parfois trompeuses, elle a également été instrumentalisée par l'État pour « canaliser la violence » suite aux révoltes des banlieues.
Mêlant récit personnel et enquête journalistique, Rendre les coups se lit comme un hommage à une boxe populaire, inclusive et anticapitaliste. Une boxe au service des combats qu'on mène à plusieurs
Syndrome du patron de gauche
17 mars, par Brault-Moreau, Arthur — littérature : essais, salariat, travail et emploi, XXIX — TravailEdition Hors d'atteinte
Date de parution 27 octobre 2022
Nombre de pages : 224
Dimensions : 12 x 20 cm
ISBN : 978-2-38257-073-9
Tout ce qui relève du champ lexical de l'employeur, du patron, du « management » ou du salariat est considéré comme libéral, apparenté à des valeurs de droite. Ce comportement est typique du patron de gauche : en rejetant ces mots, celui-ci se prive de – ou plutôt s'épargne – toute réflexion sur le sujet. L'expression « patron de gauche » souligne à elle seule le paradoxe de la situation : dans la pratique, « patron » ; dans le discours, « de gauche ».
Né en 1993, diplômé de Sciences-Po, Arthur Brault Moreau a fait l'amère expérience du patronat de gauche dès sa première embauche. Forcé de constater que ce positionnement politique ne garantissait en rien le respect du droit du travail, il a mené une enquête auprès d'environ 70 personnes, dont beaucoup de salarié·es et quelques employeurs. Guide de développement collectif plus que personnel, ce manuel fournit des outils concrets pour comprendre et combattre ces patrons qui ne disent pas leur nom.
Syndrome du patron de gauche
17 mars, par Brault-Moreau, Arthur — littérature : essais, salariat, travail et emploi, XXIX — TravailEdition Hors d'atteinte
Date de parution 27 octobre 2022
Nombre de pages : 224
Dimensions : 12 x 20 cm
ISBN : 978-2-38257-073-9
Tout ce qui relève du champ lexical de l'employeur, du patron, du « management » ou du salariat est considéré comme libéral, apparenté à des valeurs de droite. Ce comportement est typique du patron de gauche : en rejetant ces mots, celui-ci se prive de – ou plutôt s'épargne – toute réflexion sur le sujet. L'expression « patron de gauche » souligne à elle seule le paradoxe de la situation : dans la pratique, « patron » ; dans le discours, « de gauche ».
Né en 1993, diplômé de Sciences-Po, Arthur Brault Moreau a fait l'amère expérience du patronat de gauche dès sa première embauche. Forcé de constater que ce positionnement politique ne garantissait en rien le respect du droit du travail, il a mené une enquête auprès d'environ 70 personnes, dont beaucoup de salarié·es et quelques employeurs. Guide de développement collectif plus que personnel, ce manuel fournit des outils concrets pour comprendre et combattre ces patrons qui ne disent pas leur nom.
Te plains pas, c’est pas l’usine
17 mars, par Zalzett, Lily + Fihn, Stella — bureaucratie, économie : entreprise, travail et emploi, XXIX — TravailZalzett, Lily ; Fihn, Stella. — Te plains pas, c'est pas l'usine : l'exploitation en milieu associatif. — 2e édition revue et augmentée. — Toulouse : Niet !, 2022 [juin]. — 144 p. ; 17 cm.
ISBN 979-10-96-195-16-9
Le secteur associatif emploie en France 1,8 million de personnes, et il a bonne presse. Quand on travaille dans une association, on est censé y trouver du sens, on est censé être en adéquation avec des valeurs et non avec une logique de profit. Faire corps avec son boulot : une chance inestimable ?
À rebours de cette image, ce livre rend compte de modalités d'exploitation insidieuses, dissimulées derrière l'idéologie du civisme et de l'engagement associatif : rapports hiérarchiques brutaux, chantage à la responsabilité, injonction permanente à ne pas compter ses heures, utilisation sans mesure du bénévolat et des services civiques.
« Mais te plains pas, tu pourrais bosser à l'usine ! »
Édition augmentée d'une postface sur le travail associatif en temps de pandémie et des perspectives de luttes.
Te plains pas, c’est pas l’usine
17 mars, par Zalzett, Lily + Fihn, Stella — bureaucratie, économie : entreprise, travail et emploi, XXIX — TravailZalzett, Lily ; Fihn, Stella. — Te plains pas, c'est pas l'usine : l'exploitation en milieu associatif. — 2e édition revue et augmentée. — Toulouse : Niet !, 2022 [juin]. — 144 p. ; 17 cm.
ISBN 979-10-96-195-16-9
Le secteur associatif emploie en France 1,8 million de personnes, et il a bonne presse. Quand on travaille dans une association, on est censé y trouver du sens, on est censé être en adéquation avec des valeurs et non avec une logique de profit. Faire corps avec son boulot : une chance inestimable ?
À rebours de cette image, ce livre rend compte de modalités d'exploitation insidieuses, dissimulées derrière l'idéologie du civisme et de l'engagement associatif : rapports hiérarchiques brutaux, chantage à la responsabilité, injonction permanente à ne pas compter ses heures, utilisation sans mesure du bénévolat et des services civiques.
« Mais te plains pas, tu pourrais bosser à l'usine ! »
Édition augmentée d'une postface sur le travail associatif en temps de pandémie et des perspectives de luttes.
Feu ! Abécédaire des féminismes présents
19 février, par Collectif — XII — Féminisme, écologie, féminisme, genre, prison, racisme et antiracisme, sexisme et homophobieDorlin, Elsa (dir.). — Feu ! : abécédaire des féminismes présents. — Paris : Libertalia, 2021 [oct.]. — 736 p. ; 21 cm. — (Hors collection).
ISBN 978-2-37729-222-6 (numérique : 978-2-37729-223-3)
Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l'État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n'être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s'adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d'expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d'une approche féministe de l'histoire intellectuelle et politique. Il est dédié à toutes les résistantes anonymes au quotidien des violences les plus crasses, à celles qui embrasent les tribunaux, cassent des genoux et brisent les vitrines, à celles qui inventent mille tactiques imperceptibles pour survivre et se mettre à l'abri, à la mémoire de celles dont les noms recouvrent les murs de nos villes la nuit, à la puissance des collectifs qui se font, à ceux qui se sont défaits, qui se sont (re)constitués ailleurs ou autrement, à ce qui nous lie.
Les auteur·ices :
Catherine Achin, Julia Arnaud, Myriam Bahaffou, Alexandre Baril, Geneviève Bernanos, Nesrine Bessaïh, Charlotte Bienaimé, Anaïs Bohuon, Nedjma Bouakra, Anaïs Bourdet, Sarah Bracke, Florys Castan-Vicente, Cécil Chaignot, Roxanne Chinikar, Anina Ciuciu, Collectif des colleuses de Marseille, Anne Crignon, Leyla Dakhli, Wendy Delorme, Rokhaya Diallo, Mounia El Kotni, Karine Espineira, Habitantes de la ZAD, Lise Foisneau, Veronica Gago, Édith Gaillard, Mélina Germes, Bettina Ghio, Annabel Guérédrat, Beritan Güney, Nabila O. Hamici, Adèle Haenel, Mila Ivanovic, Tiziri Kandi, Hanane Karimi, Cécile Kiefer, Aurélie Knüfer, Manon Labry, Marie Loison-Leruste, Camille Louis, Daria Marx, Mélusine, Stéphanie Melyon-Reinette, Morgane Merteuil, Rosa Moussaoui, Delphine Naudier, No Anger, Fania Noël, Veronica Noseda, Émilie Notéris, Nur Noukhkhaly, Fatima Ouassak, Ovidie, Gwénaëlle Perrier, Axelle Playoust-Braure, Mathilde Poirier, Valérie Rey-Robert, Kira Ribeiro, Gwenola Ricordeau, Rosa Rosana Rodriguez, Anne Schmitt, Fanny Taillandier, Élise Thiébaut, Albertine Thunier, Assa Traoré, Underthndr, Kanelle Valton, Gisèle Vienne
Sommaire :
Elsa Dorlin. Cette fois, le feu !
Gwenola Ricordeau. Abolitionnisme pénal
Cécil Chaignot. Amour (tout est au féminin pluriel)
Assa Traoré. Antigone
Nedjma Bouakra. Archives
Mélusine. Un balcon à soi (Twitter)
Karine Espineira. Nos bibliothèques
Mounia El Kotni. Cancer
Alexandre Baril. Cisgenre
No Anger. Confinement
Catherine Achin et Delphine Naudier. Contrebande
Mila Ivanovic. Corps-continent
Valérie Rey-Robert. Culture du viol
Stéphanie Melyon-Reinette (aka Nèfta Poetry). Diaspora(s), diasporique(s)
Wendy Delorme. (Sexualités) dissidentes
Myriam Bahaffou. Écoféminisme radical
Marie Loison-Leruste & Gwenaëlle Perrier. Écriture inclusive
OvidieéducAtion sexuelle
Sarah Bracke. Ennemis
Anaïs Bourdet. Fatigue
Anne Crignon. Femmes en gilets jaunes
Adèle Haenel. Feu !
Anaïs Bohuon, Florys Castan-Vicente, Anne Schmitt. Football : dégommer les normes
Camille Louis. Frontières
Daria Marxgenre. « Mon genre, c'est grosse »
Tiziri Kandiune. Grève à soi : les luttes des femmes de chambre
Mélina Germes. Handies-féminismes, luttes antivalidisme
Roxanne Chinikar. Hystériques, féminisme et santé mentale
Rosa Moussaoui. Internationalisme
Albertine Thunier. Internet (cyberféminisme)
Fania Noël. Intersectionnalité
Nesrine Bessaïh. Justice reproductive
Kanelle Valton. Kréyoliser le féminisme 2.0
Zehra Yildiz. KurdistAn
Manon Labry. Ladyfest
Anina Ciuciu et Lise Foisneau. Luttes romani, combats féministes
Cécile Kiefer. Menopausées
Fatima Ouassak. Mères
Geneviève Bernanos. Mères solidaires
Verónica Gago. Néolibéralisme versus féministes
Hanane Karimi. « nous, féministes... »
Collectif des colleuses de Marseille. Nuit, résistantes/survivantes
Underthndr. Orgasme (clitoris)
Veronica Noseda. Oui oui oui
Aurélie Knüfer. Philosophes
Gisèle Vienne. Poupées
Bettina Ghio. Rappeuses
Élise Thiébaut. Règles
Leyla Dakhli. Révoltées-révolutionnaires
Anaïs Bohuon, Flor ys Castan-Vicente, Anne Schmitt. Roller derby : queer empowerment
Nabila O. Hamici. Schizophrénie
Annabel Guérédrat. Sorcières
Édith Gaillard. Squat
Émilie Notéris. Straight minds (configurations idéologiques)
Morgane Merteuil. (Refus du) travail
Rokhaya Diallou. Universalisme
Axelle Playoust-Braure. Viande
Fanny Taillandier. Ville
Rachel M. Poirier. Violences intracommunautaires
Kira Ribeiro. Virus
Charlotte Bienaimé. Voix
Habitantes de la ZAD. ZAD
Julia Arnaud et Rosa E. Rosano Rodríguez. Zapatistes
Nur Noukhkhaly. Zines féministes
Remerciements
Feu ! Abécédaire des féminismes présents
19 février, par Collectif — XII — Féminisme, écologie, féminisme, genre, prison, racisme et antiracisme, sexisme et homophobieDorlin, Elsa (dir.). — Feu ! : abécédaire des féminismes présents. — Paris : Libertalia, 2021 [oct.]. — 736 p. ; 21 cm. — (Hors collection).
ISBN 978-2-37729-222-6 (numérique : 978-2-37729-223-3)
Plutôt que de réduire le féminisme à des revendications faites à l'État, au patron, au chef ou à papa, pour plus de lois, plus de “sécurité”, à n'être que le porte-drapeau ou le cache-misère du capitalisme, de tel ou tel gouvernement nationaliste, ces histoires des féminismes présents rappellent et font résonner ensemble nos vies féministes. Ce livre fonctionne comme un abécédaire, un manuel, une boîte à outils, un dictionnaire amoureux, dans lequel échanger des idées, affûter des armes, écouter des voix, partager des expériences et des pratiques, vibrer pour des luttes présentes. Il s'adresse à tous·tes : il contient à la fois des ressources et foisonne de références utiles, de notions, mais il est fabriqué par des plumes et des voix, des points de vue situés sur des retours d'expériences collectives, des itinéraires politiques et intimes, des réflexions et des rétrospections sur des parcours, des engagements, des révoltes et des espoirs. En pluralisant les styles, en se situant à la fois du côté de la théorie et de la pratique, de la création, des écritures au “nous” et au “je”, il témoigne de la force d'une approche féministe de l'histoire intellectuelle et politique. Il est dédié à toutes les résistantes anonymes au quotidien des violences les plus crasses, à celles qui embrasent les tribunaux, cassent des genoux et brisent les vitrines, à celles qui inventent mille tactiques imperceptibles pour survivre et se mettre à l'abri, à la mémoire de celles dont les noms recouvrent les murs de nos villes la nuit, à la puissance des collectifs qui se font, à ceux qui se sont défaits, qui se sont (re)constitués ailleurs ou autrement, à ce qui nous lie.
Les auteur·ices :
Catherine Achin, Julia Arnaud, Myriam Bahaffou, Alexandre Baril, Geneviève Bernanos, Nesrine Bessaïh, Charlotte Bienaimé, Anaïs Bohuon, Nedjma Bouakra, Anaïs Bourdet, Sarah Bracke, Florys Castan-Vicente, Cécil Chaignot, Roxanne Chinikar, Anina Ciuciu, Collectif des colleuses de Marseille, Anne Crignon, Leyla Dakhli, Wendy Delorme, Rokhaya Diallo, Mounia El Kotni, Karine Espineira, Habitantes de la ZAD, Lise Foisneau, Veronica Gago, Édith Gaillard, Mélina Germes, Bettina Ghio, Annabel Guérédrat, Beritan Güney, Nabila O. Hamici, Adèle Haenel, Mila Ivanovic, Tiziri Kandi, Hanane Karimi, Cécile Kiefer, Aurélie Knüfer, Manon Labry, Marie Loison-Leruste, Camille Louis, Daria Marx, Mélusine, Stéphanie Melyon-Reinette, Morgane Merteuil, Rosa Moussaoui, Delphine Naudier, No Anger, Fania Noël, Veronica Noseda, Émilie Notéris, Nur Noukhkhaly, Fatima Ouassak, Ovidie, Gwénaëlle Perrier, Axelle Playoust-Braure, Mathilde Poirier, Valérie Rey-Robert, Kira Ribeiro, Gwenola Ricordeau, Rosa Rosana Rodriguez, Anne Schmitt, Fanny Taillandier, Élise Thiébaut, Albertine Thunier, Assa Traoré, Underthndr, Kanelle Valton, Gisèle Vienne
Sommaire :
Elsa Dorlin. Cette fois, le feu !
Gwenola Ricordeau. Abolitionnisme pénal
Cécil Chaignot. Amour (tout est au féminin pluriel)
Assa Traoré. Antigone
Nedjma Bouakra. Archives
Mélusine. Un balcon à soi (Twitter)
Karine Espineira. Nos bibliothèques
Mounia El Kotni. Cancer
Alexandre Baril. Cisgenre
No Anger. Confinement
Catherine Achin et Delphine Naudier. Contrebande
Mila Ivanovic. Corps-continent
Valérie Rey-Robert. Culture du viol
Stéphanie Melyon-Reinette (aka Nèfta Poetry). Diaspora(s), diasporique(s)
Wendy Delorme. (Sexualités) dissidentes
Myriam Bahaffou. Écoféminisme radical
Marie Loison-Leruste & Gwenaëlle Perrier. Écriture inclusive
OvidieéducAtion sexuelle
Sarah Bracke. Ennemis
Anaïs Bourdet. Fatigue
Anne Crignon. Femmes en gilets jaunes
Adèle Haenel. Feu !
Anaïs Bohuon, Florys Castan-Vicente, Anne Schmitt. Football : dégommer les normes
Camille Louis. Frontières
Daria Marxgenre. « Mon genre, c'est grosse »
Tiziri Kandiune. Grève à soi : les luttes des femmes de chambre
Mélina Germes. Handies-féminismes, luttes antivalidisme
Roxanne Chinikar. Hystériques, féminisme et santé mentale
Rosa Moussaoui. Internationalisme
Albertine Thunier. Internet (cyberféminisme)
Fania Noël. Intersectionnalité
Nesrine Bessaïh. Justice reproductive
Kanelle Valton. Kréyoliser le féminisme 2.0
Zehra Yildiz. KurdistAn
Manon Labry. Ladyfest
Anina Ciuciu et Lise Foisneau. Luttes romani, combats féministes
Cécile Kiefer. Menopausées
Fatima Ouassak. Mères
Geneviève Bernanos. Mères solidaires
Verónica Gago. Néolibéralisme versus féministes
Hanane Karimi. « nous, féministes... »
Collectif des colleuses de Marseille. Nuit, résistantes/survivantes
Underthndr. Orgasme (clitoris)
Veronica Noseda. Oui oui oui
Aurélie Knüfer. Philosophes
Gisèle Vienne. Poupées
Bettina Ghio. Rappeuses
Élise Thiébaut. Règles
Leyla Dakhli. Révoltées-révolutionnaires
Anaïs Bohuon, Flor ys Castan-Vicente, Anne Schmitt. Roller derby : queer empowerment
Nabila O. Hamici. Schizophrénie
Annabel Guérédrat. Sorcières
Édith Gaillard. Squat
Émilie Notéris. Straight minds (configurations idéologiques)
Morgane Merteuil. (Refus du) travail
Rokhaya Diallou. Universalisme
Axelle Playoust-Braure. Viande
Fanny Taillandier. Ville
Rachel M. Poirier. Violences intracommunautaires
Kira Ribeiro. Virus
Charlotte Bienaimé. Voix
Habitantes de la ZAD. ZAD
Julia Arnaud et Rosa E. Rosano Rodríguez. Zapatistes
Nur Noukhkhaly. Zines féministes
Remerciements
Il faudra faire avec nous
18 février, par Agary, Lë — XVI A — Littérature : romans, action directe, contestation, littérature : romans, sabotageAgary, Lë. — Il faudra faire avec nous. — Ronchin : Les Étaques, 2022 [févr.]. — 127 p. ; 18 cm.
ISBN 978-2-490205-10-3
" Il faudra faire avec nous est un manuel de sabotage déguisé en roman ou, plutôt, un roman déguisé en manuel de sabotage. Il nous embarque dans les pas et les pensées d'une activiste qui, chaque jour, lutte sur de nombreux fronts pour renverser un monde personnifié par Franck. Un jour trader, le lendemain vigile, préfet ou simple troufion au tonfa, celui-ci incarne le cynisme du capitalisme et la violence de son service d'ordre.
En miroir de la répression étatique, Lë Agary nous plonge dans l'enthousiasme tenace de la révolte contre les injustices et ceux qui les provoquent. Face aux clichés médiatiques qui disqualifient les actions militantes, Il faudra faire avec nous restitue la généreuse spontanéité de celles et ceux qui désirent tout à la fois bousculer l'ordre social et constituer des collectifs audacieux. "
Il faudra faire avec nous
18 février, par Agary, Lë — XVI A — Littérature : romans, action directe, contestation, littérature : romans, sabotageAgary, Lë. — Il faudra faire avec nous. — Ronchin : Les Étaques, 2022 [févr.]. — 127 p. ; 18 cm.
ISBN 978-2-490205-10-3
" Il faudra faire avec nous est un manuel de sabotage déguisé en roman ou, plutôt, un roman déguisé en manuel de sabotage. Il nous embarque dans les pas et les pensées d'une activiste qui, chaque jour, lutte sur de nombreux fronts pour renverser un monde personnifié par Franck. Un jour trader, le lendemain vigile, préfet ou simple troufion au tonfa, celui-ci incarne le cynisme du capitalisme et la violence de son service d'ordre.
En miroir de la répression étatique, Lë Agary nous plonge dans l'enthousiasme tenace de la révolte contre les injustices et ceux qui les provoquent. Face aux clichés médiatiques qui disqualifient les actions militantes, Il faudra faire avec nous restitue la généreuse spontanéité de celles et ceux qui désirent tout à la fois bousculer l'ordre social et constituer des collectifs audacieux. "
Abrégé du Capital
18 février, par Cafiero, Carlo — XVII B — Marxisme : critique du marxisme, autogestion, capitalisme et anticapitalisme, coopération, luttes ouvrières, marxisme, révolution, salariatCafiero, Carlo (éd.). — Abrégé du “Capital” / Karl Marx (auteur d'origine) ; préf. Mathieu Léonard. — Le Chien rouge (CQFD), 2021 (sept.). — 176 p. ; 19 cm.
ISBN 978-2-91654223-2
En 1878, en prison, l'anarchiste Carlo Cafiero écrit un abrégé du Capital de Karl Marx, souhaitant le rendre plus accessible.
Abrégé du Capital
18 février, par Cafiero, Carlo — XVII B — Marxisme : critique du marxisme, autogestion, capitalisme et anticapitalisme, coopération, luttes ouvrières, marxisme, révolution, salariatCafiero, Carlo (éd.). — Abrégé du “Capital” / Karl Marx (auteur d'origine) ; préf. Mathieu Léonard. — Le Chien rouge (CQFD), 2021 (sept.). — 176 p. ; 19 cm.
ISBN 978-2-91654223-2
En 1878, en prison, l'anarchiste Carlo Cafiero écrit un abrégé du Capital de Karl Marx, souhaitant le rendre plus accessible.
Sans pub et sans pitié
18 février, par Collectif — capitalisme et anticapitalisme, censure, communication (généralités), contestation, contrôle social, féminisme, genre, information et désinformation, logement, habitat, luttes urbaines, urbanisme et ville, XXX — MédiasBrique, la. — Sans pub & sans pitié : quatorze années d'un journal libre et indépendant à Lille / ill. couv. Florent Grouzael. — [2e éd. augm.]. — Ronchin : Les Étaques, 2021 [juil.]. — 446 p. : ill. ; 20 cm.
Les signatures ne sont pas reprises. — 1re éd. en décembre 2020. — Impr. Corlet. — ISBN [978-2-490205-08-0]
Sans pub & sans pitié est un condensé de critique sociale issue du journal lillois La Brique. À travers des chapitres thématiques variés : élites locales, industrie et écologie, habitat, culture, social, féminisme et luttes LGBTQI, répression, médias. Il dresse un portrait sans concession de la ville de Lille et sa métropole. Tout en dressant cet état des lieux La Brique dessine en miroir les problématiques de bien d'autres métropoles de France qui ont fait le choix du marketing territorial et pris le virage du tertiaire, à n'importe quel prix. Le livre s'articule entre des prises de parole inédites, des articles d'archives, et comporte de nombreuses illustrations témoignant du travail du journal autour de sa dimension graphique. Sans pub & sans pitié fait le bilan d'un pouvoir socialiste vacillant et de ses alliances avec le patronat local depuis quarante ans.
Sans pub et sans pitié
18 février, par Collectif — capitalisme et anticapitalisme, censure, communication (généralités), contestation, contrôle social, féminisme, genre, information et désinformation, logement, habitat, luttes urbaines, urbanisme et ville, XXX — MédiasBrique, la. — Sans pub & sans pitié : quatorze années d'un journal libre et indépendant à Lille / ill. couv. Florent Grouzael. — [2e éd. augm.]. — Ronchin : Les Étaques, 2021 [juil.]. — 446 p. : ill. ; 20 cm.
Les signatures ne sont pas reprises. — 1re éd. en décembre 2020. — Impr. Corlet. — ISBN [978-2-490205-08-0]
Sans pub & sans pitié est un condensé de critique sociale issue du journal lillois La Brique. À travers des chapitres thématiques variés : élites locales, industrie et écologie, habitat, culture, social, féminisme et luttes LGBTQI, répression, médias. Il dresse un portrait sans concession de la ville de Lille et sa métropole. Tout en dressant cet état des lieux La Brique dessine en miroir les problématiques de bien d'autres métropoles de France qui ont fait le choix du marketing territorial et pris le virage du tertiaire, à n'importe quel prix. Le livre s'articule entre des prises de parole inédites, des articles d'archives, et comporte de nombreuses illustrations témoignant du travail du journal autour de sa dimension graphique. Sans pub & sans pitié fait le bilan d'un pouvoir socialiste vacillant et de ses alliances avec le patronat local depuis quarante ans.
Paillettes toxiques et sérum phy : des pistes pour repérer des dynamiques de (…)
1er février, par Collectif — XII A — LGBTQI, amour libre, féminisme, homosexualité, violencePaillettes toxiques et sérum phy : des pistes pour repérer des dynamiques de pouvoir dans nos relations (pas cis-hetero). — Impr. 2022. — 275 p.
contact : zinerelations[chez]riseup.net
4e de couverture :
Pourquoi ce livre ?
Parce que ce qui existe sur les violences relationnelles concerne en grande majorité les couples cis-hétéro et que c'est pas nos réalités.
Parce qu'on prend toustes du pouvoir sur les autres à des moments.
Parce qu'il y a tellement de belles formes de relations à vivre et à inventer !
Parce que ca arrive trop souvent les relations où on est mal, on se sent nul-le, on a peur, honte, on se sent coincé-e...mais on arrive pas à comprendre pourquoi.
Parce que parfois les comportements dominants sont très subtils, diffus, difficiles à voir et à visibiliser , mais qu'ils ont des conséquences.
Parce que c'est fréquent de voir des gens qu'on aime qui galèrent dans des relations.
Parce que certains outils politiques/ feministes que je trouve précieux sont parfois utilisés pour prendre du pouvoir sur d'autres.
Parce que ca arrive souvent qu'on nomme violence/abus ce qui n'en est pas, et inversement.
Parce que c'est tellement dur de sortir de l'emprise.
Parce qu'on peut avoir besoins d'outil quand on nous dit qu'on a des comportements violents et qu'on veut travailler dessus.
Parce que c'est complémentaire de lutter contre les keufs de ce monde et ceux dans nos relations !
Paillettes toxiques et sérum phy : des pistes pour repérer des dynamiques de (…)
1er février, par Collectif — XII A — LGBTQI, amour libre, féminisme, homosexualité, violencePaillettes toxiques et sérum phy : des pistes pour repérer des dynamiques de pouvoir dans nos relations (pas cis-hetero). — Impr. 2022. — 275 p.
contact : zinerelations[chez]riseup.net
4e de couverture :
Pourquoi ce livre ?
Parce que ce qui existe sur les violences relationnelles concerne en grande majorité les couples cis-hétéro et que c'est pas nos réalités.
Parce qu'on prend toustes du pouvoir sur les autres à des moments.
Parce qu'il y a tellement de belles formes de relations à vivre et à inventer !
Parce que ca arrive trop souvent les relations où on est mal, on se sent nul-le, on a peur, honte, on se sent coincé-e...mais on arrive pas à comprendre pourquoi.
Parce que parfois les comportements dominants sont très subtils, diffus, difficiles à voir et à visibiliser , mais qu'ils ont des conséquences.
Parce que c'est fréquent de voir des gens qu'on aime qui galèrent dans des relations.
Parce que certains outils politiques/ feministes que je trouve précieux sont parfois utilisés pour prendre du pouvoir sur d'autres.
Parce que ca arrive souvent qu'on nomme violence/abus ce qui n'en est pas, et inversement.
Parce que c'est tellement dur de sortir de l'emprise.
Parce qu'on peut avoir besoins d'outil quand on nous dit qu'on a des comportements violents et qu'on veut travailler dessus.
Parce que c'est complémentaire de lutter contre les keufs de ce monde et ceux dans nos relations !
Chambre à soi
1er février, par Woolf, Virginia — égalité et inégalité, féminisme, genre, XII — FéminismeWoolf, Virginia. — Une Chambre à soi. — Paris : Le Livre de Poche, 2020. — 216 p. — (Biblio).
ISBN 978-2-253-10200-7
Virginia Woolf interroge dans cet essai paru en 1929 toutes les constructions historiques, économiques et sociales qui, au fil des siècles, ont empêché les femmes d'écrire, de penser et de créer avec la même liberté que les hommes. Avec un regard volontairement impertinent et résolument moderne, elle mène une réflexion remarquable sur « les femmes et la littérature », et nous livre un texte féministe intemporel et nécessaire.
Traduction et notes de Sophie Chiari.
Préface de Lauren Bastide.
Chambre à soi
1er février, par Woolf, Virginia — égalité et inégalité, féminisme, genre, XII — FéminismeWoolf, Virginia. — Une Chambre à soi. — Paris : Le Livre de Poche, 2020. — 216 p. — (Biblio).
ISBN 978-2-253-10200-7
Virginia Woolf interroge dans cet essai paru en 1929 toutes les constructions historiques, économiques et sociales qui, au fil des siècles, ont empêché les femmes d'écrire, de penser et de créer avec la même liberté que les hommes. Avec un regard volontairement impertinent et résolument moderne, elle mène une réflexion remarquable sur « les femmes et la littérature », et nous livre un texte féministe intemporel et nécessaire.
Traduction et notes de Sophie Chiari.
Préface de Lauren Bastide.
King Kong théorie
1er février, par Despentes, Virginie — littérature : essais, féminisme, sexisme et homophobie, violence, XII — Féminisme, travail du sexeDespentes, Virginie. — King Kong théorie. — Paris : LGF, octobre 2007. — 160 p. — (Le Livre de poche).
ISBN 978-2-253-12211-1
Résumé :
J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché de la bonne meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. Je n'échangerais ma place contre aucune autre, parce qu'être Virginie Despentes me semble être une affaire plus intéressante a mener que nimporte quelle autre affaire.
King Kong théorie
1er février, par Despentes, Virginie — littérature : essais, féminisme, sexisme et homophobie, violence, XII — Féminisme, travail du sexeDespentes, Virginie. — King Kong théorie. — Paris : LGF, octobre 2007. — 160 p. — (Le Livre de poche).
ISBN 978-2-253-12211-1
Résumé :
J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché de la bonne meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. Je n'échangerais ma place contre aucune autre, parce qu'être Virginie Despentes me semble être une affaire plus intéressante a mener que nimporte quelle autre affaire.